Les drones: Death from above.

Ils sont plus petits que des avions, potentiellement armés et marchent ( presque, à la différence du livre... ) tout seuls.

Une manière moderne et "confortable" de faire la guerre.
A ce sujet, une petite "quote" de mon réservoir à citations du moment, Konrad Lorenz ( à l'origine à propos des snipers et de ceux chargés d'appuyer sur le bouton atomique ):
A  cause de la distance..."Les couches émotionnelles profondes de notre personne n'enregistrent tout simplement pas le fait que le geste d'appuyer sur la gâchette fait éclater les entrailles d'un être humain"... Ce qui en terme de comportements est la porte ouverte à toutes les dérives, car la vie en général et nous en particulier, avons un tropisme vers la facilité...

Dans le livre et pour illustrer ma "vision" du débordement des technologies de guerre vers la société de tous les jours, je leur ai assigné des utilisations "civiles" qui sont déjà largement "émergentes" aujourd'hui. Voir à ce sujet le polar Code 93 d'Olivier Norek; c'est un flic et il sait de quoi il parle...En plus, ses bouquins sont super et j'espère pouvoir approcher le niveau d'intensité qui s'en dégage. Tamza dit " Allez tous les acheter ou j'enverrais Van s'occuper de vos familles!"

Tout d'abord, le Thales Watchkeeper de fabrication anglo-israélienne, utilisé dans Eye in the sky ( chapitre deux ):

La brochure du fabriquant:
https://drive.google.com/open?id=0B64a8RCHjemaMm92ZWtMYTRpX1E

Le reste des modèles qui traînent au dessus des champs de batailles. Apprenez à reconnaître ces silhouettes comme les oies reconnaissent les rapaces. Au cas où l'autre maboul de Trump perdrait le peu de sang froid qu'il lui reste... :